LA MARQUETERIE DES CHRONIQUES BRISéS

La marqueterie des chroniques brisés

La marqueterie des chroniques brisés

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L’artisan ne pouvait plus contrer l'attention de la fresque. Chaque détail, n'importe quel soupçon projetée par la lumière des torches semblait le agacer, l’incitant à piger le message dissimulé dans la diamant. L’image de la commune en envies paraissait de plus en plus réfléchie, de la même façon qu'un souvenance silencieux sculptées dans le marbre et l’or. Il savait que quelques âmes étaient en mesure de lire dans les signes intangibles du entourage. Une consultation de voyance par téléphone aurait du lui apporter des explications sur l’origine de cette progression. Peut-être qu’un voyant aurait évident décodifier la signification de ces modifications cachées, révéler ce que son corps refusait d’admettre. Son cœur battait plus vite. Il ferma les yeux une période, essayant de se invoquer tout fait accompli pendant le commencement de son exercice professionnel sur cette fresque. Rien n’avait été laissé au futur, nul détail ne pouvait s’être modifié de lui-même. Pourtant, il était incapable de nier la réalité : l’image avait changé. Il pensa aux prévisions d'avant, aux prêtres qui consultaient la voyance au téléphone pour enregistrer indices du des dieux. Ces pratiques, des anciens temps réservées aux érudits, avaient traversé les âges, permettant à celle qui savaient être en harmonie avec de séduire des fragments d’avenir. Mais ici, dans cette basilique inachevée, c’était la pierre elle-même qui portait une inspiration. Un frisson parcourut son consultation de voyance par téléphone avec Olivier échine. S’il ne faisait rien, Constantinople pourrait-elle être condamnée ? Était-il le seul à voir ce présage ? Il n’avait plus de temps à perdre. L’artisan se détourna de la marqueterie et sortit précipitamment de la amphi. Il devait trouver quelqu’un qui comprendrait. Peut-être un érudit, un prêtre ou un voyant. Il ne pouvait pas ignorer ce qu’il venait de regarder, pas coccyxes tous les comètes qui lui avaient duré donnés. Au loin, les cloches de le petit village résonnaient dans l'obscurité. Constantinople était encore lumineux, inconsciente du peine qui planait sur elle. Mais pour combien de époques encore ? L’artisan accéléra le pas, le poids de sa découverte pesant sur ses épaules. La fresque n’était pas un aisé décor. C’était un avertissement. Il lui restait à voir si quelqu’un, quelque part, saurait l’écouter premier plan qu’il ne soit trop tard.

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